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Violences en marge de la victoire du PSG : «Nous avons évité des pillages et des dégradations bien pires», estime Laurent Nuñez

Europe 1 - Mis à jour le . 1 min

Le préfet de Paris Laurent Nuñez était l'invité de La Grande interview Europe 1-CNews ce mercredi. Au micro de Sonia Mabrouk, il est revenu sur les violences urbaines en marge de la victoire du PSG en finale de la Ligue des champions. "Nous avons évité des pillages et des dégradations bien pires", estime-t-il.

Les violences en marge de la victoire du PSG en Ligue des champions marquent durablement le paysage politique. Commerces pillés, voitures brûlées, affrontement avec les forces de l'ordre... Les images ont choqué l'opinion publique et provoquée la colère de certains ministres, à l'image de Bruno Retailleau qui a qualifié les casseurs de "barbares". 

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Des images impressionnantes

Invité ce mercredi matin sur le plateau de La Grande interview Europe 1 -CNews, le préfet de Paris Laurent Nuñez se dit néanmoins satisfait du dispositif mis en place lors de cette soirée. "Nous avons évité des pillages et des dégradations bien pires", estime-t-il.

"On a fait un dispositif policier face aux casseurs, à des pilleurs, des individus qui venaient pour s'en prendre aux forces de l'ordre, qui ne venaient absolument pas pour faire la fête et célébrer la victoire du Paris Saint-Germain. On les a eus autour du Parc des Princes, on les a eus aussi évidemment sur les Champs. Alors évidemment, vous avez des images qui passent en boucle sur CNews, sur BFM, sur les réseaux sociaux où l'on voit des policiers qui viennent impacter des groupes de jeunes casseurs, des groupes de jeunes pilleurs, pour les empêcher de commettre des dégradations", détaille-t-il au face à Sonia Mabrouk. 

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"Un dispositif costaud"

"Évidemment ça donne des images un peu impressionnantes. Mais moi qui le regarde avec un œil de technicien, de professionnel et de patron qui a demandé de l'impact et du contact, je les regarde et avec satisfaction. On intervient et on disperse", se félicite le préfet de Paris. 

Avant de conclure : ce que nous avons vécu, "ce sont des violences urbaines. Nous avions un dispositif costaud qui les a contenus. Et on a évité des pillages et des dégradations bien pires. Ça, il faut le dire".